Vous perdez du temps sur des tâches répétitives alors que vous pourriez automatiser vos workflows ? Avis Make (anciennement Integromat) vous offre une solution clé en main pour connecter vos applications et gagner en productivité. Dans cet article, découvrez notre analyse détaillée sur cette plateforme d’automatisation code/no-code, testée et approuvée par des entreprises en France, Belgique et Luxembourg. 🚀 Avec des exemples concrets, une comparaison tarifaire et des cas d’utilisation réels, vous saurez si Make est l’outil qu’il vous faut pour simplifier votre travail digital.
Sommaire
- Résumé de notre avis sur Make
- Tarifs de Make
- Make : pour qui ?
- De Integromat à Make : l’évolution d’une plateforme d’automatisation
- Liste des fonctionnalités
- Avis clients
- Avis final
Résumé de notre avis sur Make
Make (anciennement Integromat) est une plateforme d’automatisation no-code qui permet de relier des applications et de simplifier des workflows sans écrire une seule ligne de code. Son interface visuelle intuitive facilite la création de scénarios complexes, même pour les non-techniciens. J’ai personnellement utilisé Make pour automatiser des flux entre Webflow et des outils de gestion client, gagnant des heures de travail manuel. La version gratuite offre 1 000 opérations par mois, idéale pour tester les bases, mais les plans payants révèlent toute sa puissance avec des intégrations illimitées et des modèles prédéfinis. Make se démarque par sa flexibilité et son adaptabilité à des cas d’usage variés, malgré une courbe d’apprentissage initiale.
Avantages | Inconvénients |
---|---|
Interface visuelle intuitive pour créer des workflows complexes. | Courbe d’apprentissage initiale pour les débutants. |
Plus de 1 500 modèles de scénarios personnalisables. | Traduction en français parfois perfectible. |
Intégrations illimitées entre applications (Webflow, CloudTalk, etc.). | Durée limitée de l’essai gratuit pour tester toutes les fonctionnalités. |
Tarifs de Make
Les différents formules et plans tarifaires
Make propose une structure tarifaire adaptée à différents besoins, avec un plan gratuit et des options payantes. La version gratuite inclut 1 000 opérations mensuelles, idéale pour une découverte. Les plans payants, comme le plan CORE à 9 $/mois (10 000 opérations) et le plan Teams à 29 $/mois (jusqu’à 800 millions d’opérations), s’adressent aux entreprises exigeantes. Zapier, en comparaison, propose 100 tâches gratuites mais reste moins flexible pour les workflows complexes. Les tarifs évoluent selon la quantité d’opérations, la taille des données et les temps d’exécution.
Plan tarifaire | Prix mensuel | Opérations incluses |
---|---|---|
Plan gratuit | 0 $ | 1 000 opérations |
Plan CORE | 9 $ | 10 000 opérations |
Plan Teams | 29 $ | Jusqu’à 800 millions d’opérations |
Zapier (offre gratuite) | 0 $ | 100 tâches |
Le plan gratuit convient aux petites entreprises ou aux débutants, avec 1 000 opérations et 2 scénarios actifs. Le plan CORE (9 $/mois) propose 10 000 opérations, 1 Go de transfert de données et une exécution toutes les minutes, adapté aux besoins basiques. Le plan Teams (29 $/mois) inclut jusqu’à 800 millions d’opérations, une collaboration en temps réel et des intégrations illimitées, idéal pour les équipes. Les entreprises disposant de besoins spécifiques peuvent opter pour une solution sur mesure sur devis. Comparé à Zapier, Make offre plus de flexibilité pour les automatisations complexes 🚀.
Notre avis sur le prix de Make
Le rapport qualité-prix de Make est compétitif, surtout pour les automatisations complexes. La version gratuite est plus généreuse que celle de Zapier (1 000 opérations vs 100 tâches), mais le plan payant de base (9 $/mois) reste abordable. Le plan Teams (29 $/mois) justifie son tarif par des fonctionnalités collaboratives et scalables. Cependant, l’absence d’un essai gratuit prolongé peut freiner les hésitants. Pour les petites entreprises, le plan CORE offre un bon équilibre entre coût et performance. Make se positionne comme une alternative économique à Zapier, particulièrement pour les workflows nécessitant une gestion avancée des données 💡.
Make : pour qui ?
Make s’adresse aux entrepreneurs, TPE/PME et grandes entreprises cherchant à automatiser des workflows répétitifs. Mon expérience en marketing digital en France, Belgique et Luxembourg m’a permis de tester cet outil avec des clients e-commerce, agences de communication et startups. Les équipes marketing l’utilisent pour synchroniser des outils CRM et campagnes publicitaires, tandis que les départements IT l’adoptent pour des intégrations techniques complexes. Les indépendants et freelances gagnent du temps sur des tâches quotidiennes comme la gestion de leads ou la création de rapports automatisés. Make convient aussi aux développeurs souhaitant tester des automatisations sans écrire de code.
Si vous débutez, sachez que Make n’exige pas de compétences techniques initiales, mais une logique de raisonnement est utile. J’ai vu des utilisateurs maîtriser les bases en 2-3 heures grâce aux tutoriels intégrés, mais les automatisations avancées nécessitent 1 à 2 semaines de pratique. L’interface est intuitive, mais le manque de traduction parfaite en français peut poser des obstacles. Heureusement, une communauté active et des modèles prédéfinis facilitent l’apprentissage. Les ressources incluent des vidéos explicatives, des guides PDF et un support réactif en anglais.
- Automatisation du marketing et gestion des ventes pour synchroniser les données entre outils SaaS et améliorer l’efficacité des équipes commerciales.
- Secteurs variés comme l’e-commerce, l’immobilier ou la finance pour automatiser les processus de commande, de gestion des stocks ou de suivi client.
- Tâches quotidiennes et productivité en intégrant des outils spécifiques (Webflow, CloudTalk, WhatConverts) pour connecter des applications et fluidifier les workflows.
De Integromat à Make : l’évolution d’une plateforme d’automatisation
Le passage d’Integromat à Make s’est concrétisé début 2022, marquant un rebranding stratégique pour moderniser l’image de la plateforme. Ce changement visait à mieux refléter ses capacités d’automatisation avancée, tout en élargissant son attractivité vers un public plus large. Les fonctionnalités clés sont restées intactes, mais la vitesse d’exécution des scénarios a été optimisée, renforçant l’efficacité des processus métier. Make a également simplifié la création d’intégrations personnalisées, réduisant le temps de développement et augmentant la productivité pour les entreprises, dont plus de 160 000 organisations à travers le monde.
Depuis le rebranding, l’interface de Make a été modernisée avec un nouveau logo et un design plus épuré. La navigation est devenue plus intuitive grâce à une fonctionnalité de « collapse » qui permet de regrouper les données par module, facilitant ainsi leur lecture. L’éditeur visuel de type glisser-déposer, désormais plus fluide, permet de connecter facilement des dizaines d’applications en quelques clics. Des ressources éducatives ont également été ajoutées pour accompagner les débutants, renforçant l’accessibilité de l’outil tout en conservant sa puissance pour les workflows complexes. 💡
Liste des fonctionnalités
Interface visuelle intuitive
Make propose un éditeur visuel glisser-déposer pour créer des workflows sans code. Les modules se connectent via des flèches, représentant les flux de données entre applications. Cette approche rend l’automatisation accessible, même aux débutants, grâce à une logique de type diagramme. Par exemple, un scénario peut déclencher une notification Slack à chaque nouvelle commande WooCommerce. L’interface affiche en temps réel l’état des opérations (réussies, échouées) et permet d’ajuster les paramètres en un clic. 💡
Contrairement à Zapier, qui utilise une approche linéaire, Make visualise les workflows en diagramme. Cela facilite la gestion de scénarios multi-étapes complexes, comme la synchronisation simultanée de données entre Google Sheets, Salesforce et Trello. L’éditeur permet aussi de regrouper des modules en blocs réutilisables, accélérant la création d’automatisations répétitives. Un avantage notable pour les équipes en France, Belgique et Luxembourg qui collaborent à distance.
Richesse des intégrations et connecteurs
Make supporte plus de 2 000 intégrations, allant de Google Sheets à Shopify en passant par HubSpot. Les connecteurs s’activent via des ronds ou carrés dans l’interface, représentant chaque application. Un scénario peut, par exemple, transférer automatiquement des leads de Jotform vers Salesforce. Le premier plan payant (10 €/mois) inclut 10 000 opérations mensuelles, suffisantes pour automatiser des workflows combinant jusqu’à 10 applications. Spotify et Meta utilisent cette flexibilité pour leurs opérations marketing. 🚀
Application | Cas d’usage typiques |
---|---|
Google Sheets | Synchronisation de données clients avec CRM. |
Slack | Notifications en temps réel sur les ventes. |
Shopify | Gestion automatisée des stocks et commandes. |
Création de scénarios complexes
Make permet de construire des workflows multi-étapes grâce à des modules conditionnels et des outils comme le « Router ». Par exemple, un scénario peut filtrer les leads qualifiés dans HubSpot, déclencher un email personnalisé via Mailchimp, puis mettre à jour un tableau Trello. Les scénarios peuvent inclure des boucles avec l’ »Itérateur » pour traiter des listes d’éléments. L’API de Make permet aussi d’intégrer des scripts personnalisés pour les cas les plus avancés, sans quitter l’interface. 🧩
- Automatisation de la création de rapports financiers mensuels à partir de données Google Analytics.
- Synchronisation en temps réel entre un site Webflow et un outil de CRM.
- Envoi automatisé de rappels clients via WhatsApp pour des rendez-vous non honorés.
Manipulation des données et transformations
Make transforme les données entre formats (JSON, CSV, XML) grâce à des modules comme le « Parser » ou l’ »Enrichisseur ». Un scénario peut extraire des données d’un fichier Excel, les structurer, puis les envoyer à un ERP. Le « Router » permet de diriger les informations via des chemins multiples selon des règles prédéfinies. Ces outils évitent les erreurs manuelles et garantissent une cohérence des données entre systèmes hétérogènes, crucial pour les entreprises transfrontalières. 📊
Ces capacités de transformation distinguent Make de solutions basiques comme Zapier. Par exemple, un retailer peut automatiser le calcul de marges en temps réel en croisant données de ventes (Shopify) et coûts (ERP). Cette flexibilité réduit le besoin de développeurs, économisant temps et budget. Les modules « Itérateur » et « Aggrégateur » renforcent cette puissance pour des analyses complexes. 📈
Avis clients
Make (anciennement Integromat) bénéficie d’une note moyenne de 4,8/5 sur Capterra Luxembourg, basée sur 274 avis. Les utilisateurs soulignent son interface visuelle intuitive et sa capacité à connecter des applications variées. L’outil est largement plébiscité pour automatiser des tâches répétitives, gagner du temps et améliorer la productivité. Cependant, certains relèvent une courbe d’apprentissage initiale, surtout pour les débutants. La version gratuite, avec 1 000 opérations mensuelles, est appréciée pour tester les bases, mais les plans payants dévoilent toute sa puissance pour des workflows complexes.
Les points forts de Make résident dans son interface visuelle simple, sa flexibilité et ses intégrations multiples. Les utilisateurs valorisent particulièrement la possibilité de relier des outils comme Google Sheets, Salesforce ou Slack sans codage. L’automatisation de tâches chronophages, comme la synchronisation de données entre applications, est souvent citée comme un gain de temps majeur. La communauté active et les modèles prédéfinis facilitent l’adoption, même pour des scénarios avancés. En France, Belgique et Luxembourg, les entreprises l’utilisent pour optimiser leurs opérations marketing et commerciales.
Les critiques portent principalement sur la complexité initiale et un support technique parfois perfectible. Certains utilisateurs déplorent des difficultés à résoudre certaines erreurs ou à maîtriser l’architecture sans formation préalable. Sur Trustpilot, un TrustScore basé sur 121 avis mentionne des attentes non comblées, notamment pour des cas d’usage très spécifiques. La traduction en français reste partielle, ce qui peut freiner les non-anglophones. Enfin, les coûts croissants avec l’augmentation des opérations sont un frein pour les petites structures.
Dans des témoignages concrets, des entreprises utilisent Make pour automatiser la génération de visuels à partir d’avis Google ou publier sur les réseaux sociaux via un Google Sheets. Un client a gagné plusieurs heures par mois en connectant CloudTalk à d’autres outils. Découvrez des avis clients détaillés ici pour comprendre l’impact de l’automatisation dans des contextes professionnels réels. Ces exemples illustrent comment Make transforme workflows manuels en processus fluides, même pour des équipes transfrontalières.
Découvrez des avis clients détaillés ici
Avis final
Make se démarque par sa capacité à automatiser des workflows complexes sans codage. Son interface visuelle intuitive permet de connecter plus de 2 000 applications, idéal pour les équipes en France, Belgique ou Luxembourg. La flexibilité des plans, allant du gratuit aux solutions sur mesure, le rend accessible à tous. Les entreprises gagnent en productivité grâce à des scénarios personnalisables, comme la synchronisation en temps réel entre Webflow et CRM. Avec 160 000 organisations utilisatrices, Make prouve sa pertinence pour des processus métier variés, de la gestion de stocks à l’analyse de données. 💡
Face à Zapier, Make excelle dans les automatisations complexes grâce à son éditeur en diagramme. Zapier reste plus simple pour les tâches basiques, mais Make propose des modules conditionnels et un traitement avancé des données. À 9 $/mois, le plan CORE offre 10 000 opérations, contre 100 tâches pour Zapier gratuit. Les entreprises transfrontalières profitent de sa scalabilité, tandis que les freelances apprécieront la version gratuite. Make se positionne comme une alternative économique pour des workflows nécessitant une logique multi-étapes. 🚀
Pour bien démarrer, commencez par le plan gratuit (1 000 opérations) et explorez les 1 500 modèles prédéfinis. Testez des scénarios simples, comme la synchronisation entre Google Sheets et Slack, avant d’aborder des workflows complexes. Utilisez les tutoriels vidéo et guides PDF disponibles sur la plateforme. Pour en savoir plus, consultez le blog de Julie Vicart dédié à des outils comme Make. Une formation en ligne (Udemy, KreaCity) accélérera votre maîtrise. Anticipez une courbe d’apprentissage de 2 à 3 heures pour les bases, mais comptez 1 à 2 semaines pour des automatisations avancées. 📈
Pour approfondir vos connaissances, consultez le blog de Julie Vicart
Make se positionne comme une solution d’automatisation code solide, idéale pour automatiser des workflows complexes sans développement. Son interface visuelle intuitive et ses intégrations multiples permettent d’économiser des heures de travail manuel 💡. Avec un plan gratuit accessible et des cas d’usage variés, c’est l’outil automatisation à tester dès maintenant pour transformer vos scénarios en leviers concrets 🚀.